POUR UNE VILLE ÉCOLOGIQUE, CITOYENNE ET SOLIDAIRE

A Massy, c’est plus de béton, moins de végétation !

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M. Samsoen, un Maire bétonneur

Pendant la campagne des municipales, M. Samsoen promettait de ralentir le rythme des constructions.

Plus d’un an après, tout un chacun peut observer qu’il n’en est rien : les très nombreux chantiers et autres atteintes à la nature s’enchaînent. D’autres projets de quartiers sont déjà annoncés (requalification de -X%) alors que le quartier Vilgénis (qui n’a d’éco-quartier que le nom) sort à peine de terre.

30 000 m2 d’arbres abattus en 1 an !

Tout cela n’est pas sans conséquences :

  • manque d’espaces verts,
  • atteintes aux espaces naturels,
  • RER en surchauffe,
  • croissance du trafic automobile,
  • services publics saturés,
  • minéralisation accrue et imperméabilisation des sols,
  • immeubles de bureaux vides,
  • déficit de logements abordables au profit de logements privés coûteux

La seule stratégie d’urbanisme qui guide M. Samsoen, aussi Président de la société d’aménagement, semble être de trouver des terrains disponibles pour les promoteurs sans tenir compte de la qualité de vie urbaine. Certes la densification autour du pôle de la gare est nécessaire, mais elle doit s’accompagner d’une réflexion qui intègre des espaces naturels et davantage de services aux habitants.

L’exemple le plus flagrant de cette absence de réflexion est l’occasion manquée de la création d’un grand parc urbain dans le quartier Atlantis, qui souffre pourtant d’un manque flagrant de verdure.

Le long de l’Avenue Carnot, une dernière grande friche va effectivement subir la bétonisation très prochainement, privant les résidents et les employés des bureaux d’un îlot de verdure qui aurait été bien nécessaire.

Tout cela sans aucune réflexion avec les habitants.

Pourtant, une autre politique d’urbanisme est possible

Les projets peuvent ainsi attendre l’arrivée de la ligne 18 du métro afin d’éviter de surcharger plus encore les transports, et une véritable intelligence de l’aménagement urbain, négligée par M. Samsoen, est à mettre au service de la qualité de vie urbaine.

Nous défendons une autre façon de construire la ville, au service de tous, et à la hauteur des enjeux écologiques et de solidarité.